antoine cloux philosophie

Le mental d’abord

Développer la confiance du cheval en toute situation.
En confiance, le cheval est plus performant et moins sujet aux blessures. Calme et l’esprit clair, il a le désir d’apprendre et il est plus agréable à monter.
« J’aime sentir que le cheval n’a envie d’être nulle part ailleurs qu’avec son cavalier et qu’il est prêt à relever tous les défis ! »
Le résultat est un cheval respectueux, léger et bien éduqué au sol comme monté !

Le cheval, un miroir de notre âme

Le cheval met en évidence nos défauts comme nos qualités. Il nous donne l’opportunité de progresser en tant qu’être humain pour mieux communiquer et partager avec lui. Ma priorité est d’en faire un partenaire, que mon idée devienne la sienne. Cela passe d’abord par son mental; mon objectif est qu’il soit bien dans sa peau, le plus motivé possible, disponible, détendu et courageux. Le physique suivra. Plutôt que de l’entraîner, j’essaie de vivre avec le cheval, dans le présent, je m’adapte à ses besoins, en traitant les causes d’un problème et non les symptômes !

Je lui donne un objectif tout en lui laissant la possibilité de faire des erreurs puis de trouver les solutions, et de décider de lui-même de faire les bons choix. Je fais en sorte qu’il comprenne ce que je demande et je le laisse effectuer la manœuvre comme il sait déjà le faire au naturel, mais avec le cavalier sur le dos.

Chevaux à problèmes ? Non, cavaliers à problèmes !

Comme le lui ont appris les chuchoteurs américains, Antoine Cloux travaille sur les causes d’un problème et non sur les symptômes : « Nous développons le contrôle grâce à de nouveaux codes, de nouveaux outils, ensuite nous mettons le cheval progressivement en situation en cherchant à augmenter son capital confiance. Dans un deuxième temps, nous travaillons avec le cavalier afin qu’il se sente à l’aise avec ce nouveau « langage » et nous le mettons en situation ».